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 Mode - Street'n Fashion

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2 participants
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leeloo
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leeloo


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Mode - Street'n Fashion Empty
MessageSujet: Mode - Street'n Fashion   Mode - Street'n Fashion EmptyVen 11 Déc 2009 - 0:47

Voici quelques sites et petites videos sympathiques sur les styles les plus populaires du Japon !

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Arrow Spécial Harajuku




Arrow VISUAL KEI




Arrow GYARUgirl




Arrow Présentation de style






Arrow et pour ceux qui auraient encore peur d'aller chez le coiffeur sans savoir ce que cela donne !

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Mieko

Mieko


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Mode - Street'n Fashion Empty
MessageSujet: la mode décora et lolita   Mode - Street'n Fashion EmptyVen 18 Nov 2011 - 17:33

La mode décora


le style décora descend du style FRUiT, qui lui même est inspiré des différents styles dans le monde : punk, hippy, etc.
Les ancêtres du Décora étaient les Takenokozoku dans les années 70, des filles qui s'habillaient avec des sortes de combinaisons flashy et qui utilisaient déjà accessoires pour rendre plus mignon.

(heuuu je ne sais pas si c'est bien cette mode sur la photo) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Ensuite il y a eu le Nagomu Girl style dans les années 90, avec leur emblème Shinohara Tomoe qui aida à populariser un style utilisant l'esthétique du Kawaii à profusion, ce qui aida pour la création du style Lolita et Decora.
Shinohara sur la photo:
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Ensuite, Shoichi Aoki a publié les premiers street snaps de tokyo dans le magazine FRUiTS. Le magasin 6% dokidoki, la chanteuse Jun Togawa, la marque Hysteric Glamour ont eu aussi beaucoup d'influence sur le style FRUiTS puis par après sur le décora.
voilà j'ai trouvé ces sources sur le forum Raimbow Team ^w^ Merci!
et puis pour ma part je trouve aussi que sa reprend un petit peu les années 80 et 70 en général pour ce qui est des vêtement très colorée, des ponmpe platformes,..
année 80 et 70:
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sinon exemple de photo des vêtements de chez 6%DokiDoki, sa ressemble un peu quand même je trouve ^w^

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mais bon, vu que c'est un style qui reprend plusieurs style et que c'est très libre, c'est très dure de trouver les origines exactes! ^w^

Fruit:
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fruit boy:
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Décora et Kuro décora:
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Décora boy:
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Fairy kei:
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Fairy kei boy:
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Déco lolita:
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Lolita:

Il est souvent considéré que ce mouvement est né au Japon en réaction aux attentes de la société nippone à l'égard des femmes. En effet, celles-ci sont supposées se marier, avoir des enfants. Être une épouse et une mère pousse donc les jeunes japonaises à devenir des adultes, c'est ce qui est attendu d'elles. De plus, le Japon étant une société très conformiste, porter des tenues rappelant l'époque Rococo peut évidemment signifier à la fois le refus de passer à l'âge adulte, mais aussi de ressembler à tout le monde.
Si les lolitas (ainsi qu'elles se nomment) ont d'abord trouvé dans ce mouvement une simple façon de s'habiller, elles ont aussi rapidement développé une façon de penser et une culture autour de ce phénomène. Lorsqu'une lolita étend ses goûts vestimentaires à son art de vivre, elle est une lifestyle lolita. Il s'agit d'aspirer à un mode de vie raffiné, à un comportement à la fois élégant et modeste, généreux, doux et agréable. Les lifestyle lolitas s'investissent dans des activités culturelles, artistiques, et refusent la vulgarité, la violence et le laisser-aller. « Être une lolita, c'est d'abord faire plaisir à la princesse qui est en soi », précise François Amoretti, peintre iconique du milieu. Ainsi, les lolitas sont-elles très tournées vers les arts de la correspondance, la pâtisserie, la couture, la cérémonie du thé, la musique, l'illustration, etc ...
Alice au pays des merveilles fait partie intégrante de leurs références et cet emprunt à la littérature anglaise coïncide parfaitement aux valeurs qui définissent ce mouvement : dignité, onirisme, élégance et romantisme[réf. insuffisante].
Le roman de F.H. Burnett A Little Princess (La Petite Princesse) est aussi une grande source d'inspiration pour les lolitas, et plus particulièrement, pour les lifestyle lolitas, qui puisent de nombreux adages dans les pensées de Sarah.
Bien que le mouvement lolita soit relativement égoïste dans son essence -puisqu'exigeant une grande indépendance d'esprit dans ses choix, et la capacité à s'acheter des vêtements coûteux- les représentantes du milieu sont très tournées vers la collaboration. Une des activités favorites du mouvement est de regrouper le plus d'artistes possible autour d'un événement dit : une exposition, la pochette d'un disque, un livre d'illustrations, etc. Ces artistes sont aujourd'hui principalement japonais, mais le mouvement se développe actuellement considérablement en France. Les lolitas organisent aussi de nombreux meetings et des rencontres entre elles.
En Occident, le mouvement lolita est aussi considéré, dans une société plus violente et plus sexualisée qu'autrefois, comme une résistance "douce".
Les origines
Cette culture fait son apparition au début des années 1990 (ouverture du premier magasin Baby, the Stars Shine Bright en 1988), sans que l'on sache exactement dans quelles circonstances elle est née. Mais si l'on n'en connaît pas précisément la source[réf. nécessaire], on sait par contre que Mana, star du Visual Kei, anciennement guitariste du groupe Malice Mizer et actuel guitariste du groupe Moi Dix Mois, a popularisé ce style en créant sa propre marque de vêtements « Moi-même-Moitié » et les trois styles EGL (Elegant Gothic Lolita), EGA (Elegant Gothic Aristocrat) et GL (Gothic Lolita). Les japonais, en choisissant le terme « lolita » pour désigner ce courant vestimentaire, n'ont retenu de l'héroïne éponyme de Vladimir Nabokov que l'aspect innocent, Mana souhaitant en effet donner aux lolitas des allures de poupées victoriennes, en évacuant le côté sexuel et ambigu du personnage du roman éponyme. Les lolitas, gothic, sweet etc. sont en effet caractérisées par leur aspect "modeste" -lié à la "modesty", la pudeur, composante essentielle de ce style. Les hommes adhérant à cette mode sont nommés « brololita », et ne sont pas considérés comme travestis. Les « ita » (du japonais itai, qui fait mal) est un terme très cruel et méprisant qu'utilisent certaines lolitas pour désigner celles qui ne parviennent pas à se vêtir selon les nombreuses règles qui régissent cette mode.
Les magazines japonais Gothic & Lolita Bible (ゴシック&ロリータ バイブル, goshikku & rorîta baiburu?)1, Homemade Gothic and Lolita, Frill, Parfait, Rococo et parfois Kera ont popularisé la culture Gothic Lolita en remplissant leurs pages de photos, de publicités et de conseils destinés à ses adeptes, sans oublier des patrons de vêtements.
La mode
Comme dans le cas de la plupart des modes alternatives, le mouvement Gothic Lolita se divise souvent en plusieurs catégories. Il serait plus juste de dire que le Gothic Lolita est une forme des styles Lolita, ainsi que les qualifient les japonais. Ses caractéristiques générales sont les robes et jupes bouffantes, souvent avec une forme en cloche typique, agrémentées de jupons pour leur donner du volume (indispensables dans le look lolita), l'utilisation très courante de la dentelle, et la présence d'accessoires comme des « pièces de tête » (headdress), de serre-têtes, des mini-couronnes, des mini-chapeaux, des rubans ou des fleurs artificielles (les oreilles d'animaux ne sont pas considérées comme « lolita », et les lolitas les plus intransigeantes rejettent même les modèles de chez Baby, the Stars Shine Bright). Les jupes sont généralement portées à la hauteur du genou, sauf pour Punk-industrial, Erololita et Aristocrat. On porte soit des bottes élégantes, soit des plateformes au design féminin, ou des souliers à bride appelés maryjanes dans les pays anglo-saxons ou babies en France, en référence aux anciennes chaussures de petites filles. Les rocking horse shoes (ou ballerines compensées à bascules) telles que les a créées Vivienne Westwood sont aussi un des piliers de la tenue lolita. Les lolitas ont aussi pour habitude de porter des bloomers (culottes longues bouffantes, qui ne dépassent pas de leur tenue) afin de préserver leur pudeur à cause des jupons bouffants (la pudeur, dite modesty en anglais, est une composante essentielle des tenues lolita), de longues chaussettes ou collants (les leg warmers sont à proscrire car trop connotés « cosplay »), et jamais de décolletés ou d'épaules nues, toujours au nom de la pudeur (ces règles, très suivies par la communauté lolita, sont cependant parfois contournées, en cas de chaleur intense, par exemple). Ces règles (et plus encore) sont répertoriées dans le Lolita handbook.
Source: Wikipedia

(opignon personnel: je détèste ce terme!! une lolita est sancé être tolérante et gentille! enfait la plus part des élitiste sont des vrais peste qui n'on absolument pas un caractère doux et kawaii et tolérent comme dervrais l'avoir les lolita! Ce n'est pas la marque qui fait la lolita! il sufit de savoir faire de jolie coordination et de respecter les règle de base établi par les japonaises et pas ses saleté de règles que les européennes ont rajouter! pffff elles inovent pas! alors qu'au Japon il y a de plus en plus de mélange et de nouveaux style lolitas qui ce créé. Je rèspècte les lolita qui ont de l'argents et celles qui en ont moins! Avoir un style vestimentaire c'est sancé nous sortir des règles! Pourquoi encore créer des rêgles vestimentaire stricte alors qu'on cherche justement a s'épanouir et a fuire les règles?? Au lieux de se serrer les coude on se crèpe le chingnon! c'est vraiment dommage que la communauté lolita soit si cruelle...)

Gothic lolita:
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Sweet lolita:
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Sweet OTT:
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Country lolita:
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Shiro lolita:
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classical lolita:
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Elegant gothic lolita:
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Gothic aristocrate:
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Kodona:
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elegant loli boy:
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Brololita (homme en lolita)
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(oui oui c'est bien un homme ^w)^
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